Nancy Clark, notre nouvelle cheffe de projet

Jusqu'à présent directrice de l'action sociale et du CCAS de Concarneau Nancy Clark devient cheffe de projet de TZCLD-Concarneau. Elle remplace Lisa le Run qui a été nommée directrice de l'entreprise à but d'emploi TREUZELL. Elle nous explique quel sera son rôle.

Dans quel cadre avez vous rejoint TZCLD-Concarneau en tant que cheffe de projet ?

J'ai été mise à disposition de l'association par la ville dans le cadre d'une convention de mécénat. Il s'agit d'une convention de 18 mois renouvelable une fois.
Je ne découvre pas TZCLD-Concarneau. Comme directrice de l'action sociale j'ai été étroitement associée à sa création en 2019. On avait développé des actions d'insertion comme les ateliers et l'épicerie solidaire. L'idée était de travailler avec toutes les parties prenantes du territoire, notamment les institutions (communauté de communes, département..) et de s'appuyer sur le tissu associatif local comme les Resto du cœur, le Secours catholique... Il y a eu un souci de faire ensemble .

Quel sera votre objectif en tant que cheffe de projet ?

On constate qu'une fois l'EBE créée la démarche en amont est parfois laissée pour compte. Il est pourtant essentiel de maintenir et développer l'activité de TZCLD-Concarneau de manière à ce que son socle reste solide, sinon il y a un risque de fragilisation de l'EBE. Il ne faut pas que le soufflé retombe.
Ce projet est une fusée à plusieurs étages. Sa force est qu'il y a plusieurs entités. A cet égard Lisa et Arthus ont accompli un très beau travail.

Concrètement comment cela va-t-il s'articuler avec l'EBE TREUZELL ?

On va travailler en coordination avec Lisa. C'est un travail d'équipe. J'aurai tout un travail de repérage à faire, l'objectif de l'EBE étant à terme d'employer 80 salariés. Un objectif que je trouve raisonnable. On a un public mais on ne le connaît pas. Il ne se manifeste pas ou peu.
Il faudra ensuite redonner confiance à ces personnes qui rejoindront TZCLD-Concarneau. Souvent elles ont eu un parcours accidenté. Nous devrons nous assurer qu'elles sont prêtes à assumer un poste en CDI en les amenant dans les meilleures conditions possibles vers l'EBE. Pour cela il faut penser le futur salarié dans sa globalité.